Les sculptures en verre virent facilement au décoratif. Bernard De Jonghe, les Monod et Jean-Michel Othoniel (entre autre) sortent du lot.
Il y a quelque chose de séduisant dans cette matière et c'est peut-être pour cela que j'ai été attiré la première fois ou j'ai croisé des ventouses. On reste dans le (pseudo) contenant qui est dans mes préoccupations du moment mais c'est aussi un objet souvent artisanal avec ses imperfections pour lesquelles j'ai un penchant. Pour l'instant je les accumule. J'observe leurs variétés, leurs défauts.
Il y a quelque chose de séduisant dans cette matière et c'est peut-être pour cela que j'ai été attiré la première fois ou j'ai croisé des ventouses. On reste dans le (pseudo) contenant qui est dans mes préoccupations du moment mais c'est aussi un objet souvent artisanal avec ses imperfections pour lesquelles j'ai un penchant. Pour l'instant je les accumule. J'observe leurs variétés, leurs défauts.
A l'instar des cales, la ventouse reste pour l'instant un objet de recherche.
L'accumulation d'un même objet, d'une même image, d'un même motif en donne une lecture et un regard différent. En voici une, je vous laisse l'imaginer avec ses 400 copines.
J'ai été amené à creuser un peu le sujet et suis tombé sur des objets associés aux ventouses, les fameuses ventouses "clarifiées" de Françoise de Proust que sont les scarificateurs.